Art plumassier des Indiens d'Amérique du Sud
dans les collections des musées

>Que trouve-t-on sur ce site ?<

Des ornements de plumes des indiens d’Amazonie, c’est à dire tout ce qui est fabriqué à partir de plumes et se porte au corps comme une parure ainsi que tout objet décoré avec des plumes. ***

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Arbeitsweise

Chaque objet d’une collection donnée a été photographié isolément à l’aide d’un appareil photographique numérique (Minolta) et les images obtenues transférées sur un ordinateur (Apple) au format JPG. En général, au moins 2 photos par objet ont été prises de perspectives différentes afin de pouvoir, lors d’une exploitation ultérieure des clichés, faire une analyse des techniques et des plumes utilisées. Par ailleurs, ceci permet également de mieux rendre compte de l’état actuel des pièces. La définition de ces photos est d’environ 1 MB ; ainsi est-il possible d’agrandir tel ou tel détail de manière conséquente sans que pour autant le cliché en devienne flou. Les clichés ont été pris dans chaque musée et souvent, la seule source de lumière disponible était une lampe au néon. La plupart des clichés ont donc un intérêt purement documentaire et non esthétique.

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Die praktische Umsetzung

J’ai commencé, en 2002, par photographier les ornements fabriqués à partir de plumes et destinés à être utilisés pendant les danses. Quelque temps après furent photographiées des pièces auxquelles sont fixées des plumes comme des crécelles, des massues, des paniers et des hamacs etc. Comme les massues sont des pièces qui font typiquement partie de parures de danse, je décidai par la suite de photographier également celles auxquelles les artisans n’avaient pas fixé de plumes. Dans les premières années de mon travail, les supports numériques était encore chers ; ce qui m’amena à ne prendre qu’une ou deux photos de chaque pièce. A partir de 2004 environ, je n’ai plus lésiné sur les photographies et chaque pièce a fait l’objet de plusieurs prises de vue.

*** Les informations relatives aux pièces – fiches descriptives, catalogues généraux et autres données informatisées – furent photocopiées ou imprimées dans un premier temps et le numéro de référence des pièces, mentionné dans le nom de fichier des photographies…..*** Vers 2006, j’ai commencé à photographier également les documents relatifs aux collections (catalogues généraux, fiches et dossiers) lorsque ceux-ci n’avaient pas déjà été digitalisés.

Citons les exemples des musées de Bâle (fiches descriptives scannées à l’initiative du musée) et de Berlin (catalogue général et dossiers photographiés par mes soins).

Les noms de fichier des photographies contiennent *** ainsi que le numéro de référence de la pièce photographiée. Il est ainsi possible d’effectuer une recherche selon différents critères (ethnie, collectionneur, partie du corps, numéro de référence de la pièce, etc.) dans une fenêtre du système d’exploitation d’un ordinateur Apple par exemple en utilisant la fonction de recherche (« spotlight »).

A l’heure actuelle, je dispose de photographies prises dans les musées suivants : Anvers, Amsterdam, Bâle, Berlin, Berne, Bonn, Brunswick, Brême, Burgdorf (CH oder DE; Berthoud), Dresde, Francfort sur le Main, Fribourg en Brisgau, Genève, Göteborg, Göttingen, Gotha, Hanovre, Herrnhut, Hildesheim, Kloster Bardel, Kiel, Cologne, Copenhague, Leiden, Lübeck, Lyon, Mannheim, Marseille, Munich, Neuchâtel, Oslo, Paris, Saint-Gall, Stockholm, Stuttgart, Vienne, Werl, Zurich.

Les musées suivants n’ont pas encore été couverts : Allemagne : Hambourg et Leipzig.
Pays-Bas / Belgique : Bruxelles et Rotterdam.
Norvège : Bergen

En Suisse et en France, il me reste encore quelques collections d’importance relative à visiter. J’aurai le plaisir de travailler pour la première fois à Florence et Rome à l’automne 2008. Actuellement, j’essaie également de rendre possibles des visites à Budapest, Prague, Szczecin, Poznan, Varsovie et Cracovie.

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Résultats (avantages) pour chaque musée

Il est possible de rendre compte de manière exacte de l’état de la collection en comparant les photographies prises avec les documents relatifs à la collection ; ainsi les pièces introuvables peuvent faire l’objet d’une mention dans les fichiers papier et/ou informatiques.

Un CD ou un DVD contenant les photographies des pièces de chaque collection ainsi que les documents relatifs numérisés, premier résultat de mon travail, a été remis à chaque musée. Enfin j’ai également remis à chaque musée un document rendant compte d’une première exploitation de mon travail dans lequel j’ai listé l’origine des pièces de la collection (ethnies, collectionneurs) et ---------------------------------… J’y ai indiqué les pièces qui avaient été manifestement classées de manière erronée et fait ressortir les pièces et sous-collections particulièrement importantes.

Je ne suis pas arrivé au bout de mon travail dans tous les musées ; en fait, pour la plupart des musées, quelques unes de pièces n’ont pas encore été photographiées.

A l’exception des collections des musées de Bâle, Berlin et Göteborg, j’ai ajouté des commentaires dans les photographies des documents relatifs aux collections. Les dossiers de ces musées sont marqués d’un K (comme « Kommentar »), par exemple « Bardel 10.6.03 (22.11.05) K ».

Lorsqu’il me semblait qu’une pièce avait été mal classée, j’ai fait figurer la nouvelle attribution entre parenthèses afin que les utilisateurs puissent distinguer les données du musée des miennes.

Nous ne disposons pas toujours de pièces semblables permettant de comparer et vérifier que le classement que j’estime être le bon l’est effectivement. Les commentaires que je fais figurer entre parenthèses sont donc à considérer comme des thèses qu’il convient de discuter.

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